Affaibli par une forte fièvre, Petrov est entraîné par son ami Igor dans une longue déambulation alcoolisée, à la lisière entre le rêve et la réalité. Progressivement, les souvenirs d’enfance de Petrov ressurgissent et se confondent avec le présent…
Il n’y a ici ni présent ni réalité fixes, mais un entrecroisement de temps et d’états où se mêlent la brutalité quotidienne et la science-fiction, le fait divers, et les réminiscences de l’enfance, le poétique et le trivial. Cahiers du Cinéma