Dans la nuit du 2 mars 1953, Joseph Staline, dictateur, tyran, tortionnaire, se meurt, anéanti par une terrible attaque. Et si chaque membre de sa garde rapprochée la joue fine, le poste suprême de Secrétaire Général de l’URSS est à portée de main. (Inspiré de faits réels...)...
«La mort de Staline», comédie sur la perversité et l’absurdité d’un régime totalitaire en pleine démence, est interprété par un casting choral au diapason. Iannucci témoigne d’une science certaine pour provoquer le rire nerveux. CNews