Une réflexion sous forme de kaléidoscope sur la vie humaine dans toute sa beauté et sa cruauté, sa splendeur et sa banalité.
En une trentaine de saynètes patiemment composées, Roy Andersson croque les petites lâchetés ordinaires et révèle, par en-dessous, les plaies encore ouvertes de la grande Histoire. Le maître du burlesque sous Prozac fait mouche. Les Fiches du Cinéma